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Racheté par la Mairie de Chambourcy en 2004, le verger a une vocation conservatoire et pédagogique. Il est géré par l’Association nationale des Amateurs bénévoles pour la sauvegarde des variétés fruitières régionales en voie de disparition, dite « les Croqueurs de pommes ».

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Sur une surface de 7 000 m2, les Croqueurs bénévoles prennent soin d’environ 600 arbres : 125 variétés de pommes, 54 de poires, 14 de prunes, 19 de cerises, 3 de pêches, 3 d’abricotiers, 12 de noisettes, 3 de figues, 1 plaqueminier, 1 murier, 1 cormier, 1 asiminier et également des vignes, noyer, groseilliers et cassissiers.
Ce « verger de sauvegarde » est parfaitement naturel. Pas le moindre traitement, même biologique, n’est utilisé, afin de préserver un écosystème le plus proche de la nature.
Le principal reste tout de même de faire prospérer le verger tout en apprenant, et en profitant du petit air de campagne.

Ateliers
Venez rencontrer les Croqueurs de pommes, apprendre à soigner vos propres arbres fruitiers, à tailler et à greffer, obtenir des conseils, et participer à la sauvegarde des variétés anciennes.

Rendez-vous Chemin de la Marnière tous les jeudis de 14h à 17h.
Président : Henri Fourey.
Courriel : contact@croqueurs-idf.com

Verger poiriers

Créé en 2016 à l’initiative du Maire, Pierre Morange, le Jardin-Potager fait le pari de régénérer l’écosystème de 7 300 m2 en développant une agriculture moins agressive pour les sols et sans produits chimiques, selon les principes de la permaculture.

Ce site pédagogique et d’expérimentation a pour vocation à faire comprendre aux citoyens la cohérence et l’osmose qu’il doit y avoir entre l’homme et la nature. Le développement et l’entretien du site est une activité de l’association Chambourcy Ville Fleurie, en partenariat avec le bureau d’étude EcoWise et les services techniques de la municipalité.

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En seulement deux ans, le site a été transformé en un lieu riche en biodiversité et généreux en production de fruits et légumes sains et goûteux, récompensé par le label « Oasis Nature » de l’association Humanité et Biodiversité, dont Hubert Reeves est le président d’honneur.

Plus de 70 variétés de légumes y sont cultivées et 130 arbres et arbustes y ont été plantés, avec l’objectif d’atteindre, en 2018, 500 kg de production maraîchère.

Ce site laboratoire sera étendu sur 35 ha de la plaine de Chambourcy, dans le cadre d’un projet d’agriculture péri-urbaine bio incluant des sites de permaculture.

L'inauguration du terrain a eu lieu le 19 septembre 2018, en présence d'Hubert Reeves, astrophysicien de renommée internationale.

 

 

Ateliers
L’association Chambourcy Ville Fleurie vous invite à participer aux activités de permaculture (formations, ateliers et travaux pratiques) du jardin-potager, en partenariat avec EcoWise.
Rendez-vous Chemin de la Marnière tous les mardis, jeudis et samedis de 10h à 13h.
Pour s’inscrire : permachambourcy@gmail.com

Permaculture 1

Comment reconnaître un frelon asiatique ?

Le frelon asiatique est très facile à reconnaître car c'est la seule guêpe en Europe à posséder une couleur aussi foncée. Vespa velutina est à dominante noire, avec une large bande orange sur l'abdomen et un liseré jaune sur le premier segment. Sa tête vue de face est orange et ses pattes sont jaunes aux extrémités. Il mesure entre 17 et 32 mm.

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D'où vient-il ?

Comme son nom l'indique, il est originaire d'Asie. On retrouve cette espèce dans le Nord de l'Inde, en Chine ou dans les montagnes d'Indonésie. Il semble qu'il soit arrivé en France caché dans un chargement de poteries chinoises livrées en 2004 à Tonneins (Lot-et-Garonne). En quelques années, il aproliféré partout en France et s'est aussi répandu en Espagne et au Portugal.

Qui doit retirer les nids ?

Le décret n°2017-595 du 21 avril 2017 désigne le préfet comme autorité compétente afin d'organiser la lutte contre les espèces invasives et nuisibles dont le frelon asiatique qui est classé "danger sanitaire" de deuxième catégorie (consulter le courrier de la prefecture en ce sens). Cependant, les services de l’Etat n’ont pas comme mission d’assumer la prise en charge financière. Cette dernière est variable suivant la localisation du nid :

-pour les nids établis sur le domaine public : leur suppression est à la charge de la collectivité concernée.
-pour les nids établis sur le domaine privé : leur suppression est à la charge des propriétaires du terrain concerné.